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Chapitre I : Introduction à l'affaire

Chapitre I : Introduction à l'affaire
Chapitre I : Introduction à l'affaire
 
Le printemps dans toute sa splendeur régnait sur Londres, un printemps doux, ensoleillé, fleuri, où des myriades d'oiseaux chantaient dans les parcs, ravissant les nombreux couples d'amoureux qui s'y promenaient. Je ne pouvais m'empêcher de sourire en apercevant derrière les bosquets quelques-uns de ces Tristan et Iseult marchant la main dans la main, sous le regard inquisiteur de leur gouvernante. Mon âme, plus romantique que je ne l'aurais souhaitée, s'épanouissait devant ces démonstrations de tendresse... Peut-être étais-je aussi un peu jaloux de ces jeunes gens amoureux qui semblaient isolés et inconscients de ce qui se passait autour d'eux.

Soudain, la voix incisive et ironique de mon compagnon s'éleva, brisant la magie de l'instant, comme l'aube efface les doux rêves de la nuit.
- Je sais que je ne suis pas le genre de personne qu'il vous plairait de promener à cette époque dans un parc, mon cher Watson, mais tout de même je me sens humilié par votre désintérêt !
Je me tournai vers mon ami, Sherlock Holmes m'observait en souriant, ses yeux gris, profondément enfoncés dans leurs orbites, brillaient de plaisir et de malice.
- Mais non Holmes, voyons, je... balbutiai-je, confus.
Holmes posa amicalement sa main sur mon épaule, il riait de bon c½ur.
- Allons, mon pauvre Watson, je vous taquine ! Venez, je vous offre un bon verre de whisky pour me faire pardonner de vous avoir soumis à la torture. Pour vous, un célibataire romanesque, voir ces amoureux transis par la passion doit être un véritable supplice !

Je secouai la tête tristement, comme d'habitude Holmes traitait les choses du c½ur comme un jeu ou une plaisanterie. Je le suivis en jetant un dernier regard sur le petit étang de la Serpentine recouvert de barques transportant d'autres jeunes couples...
Holmes m'entraîna d'un pas allègre jusqu'à un pub exigu qu'il semblait connaître depuis fort longtemps, car le patron accourut vers nous à grands renforts de courbettes pour nous accompagner jusqu'à une table libre. Nous nous installâmes en poussant un long soupir de soulagement...
Il y avait déjà plusieurs mois que Holmes et moi étions enfermés dans notre petit salon de Baker Street, c'était notre première sortie dans la capitale et nous avions l'air plus heureux que jamais. La promenade était devenue un besoin pour nos nerfs qu'un hiver long et rigoureux avait passablement fatigués.
Nous étions à la fin du mois d'avril de l'année 1883, je ne connaissais Sherlock Holmes que depuis trois ans et semblais ne jamais pouvoir en connaître toutes les facettes. A chaque minute, j'étais surpris par cet être étrange qui avait transformé ma vie. Je le contemplais tandis qu'il sirotait son verre d'alcool en dissertant sur l'intérêt pour l'humanité des théories de Charles Darwin, mort il y avait tout juste un an. Il devait avoir à peine trente ans et arborait un front d'intellectuel et un regard profond qu'il ne m'a été donné de voir que chez très peu de personnes dans ma vie. J'ignorais tout de son passé et ne pensais pas qu'un jour je dusse en savoir davantage. Je l'imaginais donc orphelin, sans amis ni parents éloignés, un phénomène unique apparu spontanément. Je m'étais accoutumé à cet état de choses. Holmes connaissait, quant à lui, tous les détails de mon existence et j'ignorais jusqu'à son lieu de naissance... Ce jour-là, je me demandais toujours quelle sorte d'homme était assis en face de moi et comme d'habitude, lassé de toutes mes hypothèses inutiles, je l'écoutais en silence...

Nous rentrâmes à Baker Street à pied, profitant au maximum des derniers rayons de soleil de ce jour qui déclinait. Holmes continuait à parler, faisant preuve d'une volubilité qui lui était inhabituelle et que j'attribuais à la magnifique journée que nous venions de passer...et aussi au verre de whisky...
Nous étions à peine arrivés en vue du perron du 221 que la porte s'en ouvrit immédiatement, laissant s'échapper une madame Hudson en proie à une si forte émotion que son chignon, habituellement impeccable, avait glissé sur le côté de son crâne. J'en déduisais que notre chère logeuse avait dû guetter notre retour à la fenêtre du salon dont j'apercevais les rideaux tirés. Elle accourut jusqu'à nous en agitant les bras.
- Monsieur Holmes ! Monsieur Holmes ! Un message pour vous ! Vite !

Holmes, profondément surpris par tant d'agitation pour un simple message de la part d'une femme calme et posée, lui demanda de s'apaiser. Nous la suivîmes dans l'appartement, sous les regards stupéfaits des autres passants. Sur la table du salon, Mme Hudson s'empara d'un bout de papier blanc qu'elle tendit d'une main tremblante au détective.
Holmes réclama du thé, sans doute pour donner quelque chose à faire à cette pauvre Mme Hudson si angoissée, puis il parcourut la lettre des yeux. Pour la première fois de ma vie, je vis alors son visage, si pâle d'ordinaire, devenir blême. Machinalement, mon ami s'assit dans un fauteuil et ses yeux fixèrent le foyer de la cheminée désespérément vide. Sa main lâcha la lettre qui retomba sur le sol, puis il se cacha le visage de ses mains avec l'expression de quelqu'un de très bouleversé. J'étais si surpris que je ne trouvais rien à lui dire, j'entendais Mme Hudson murmurer derrière moi :
- Mon Dieu ! Mon Dieu !

Je m'approchai doucement de Holmes et me saisis de la lettre, la voici :

Richmond,
26 avril 1883,
Cher M. Sherlock Holmes,
Je suis chargé d'une bien pénible tâche. En effet, votre père a été victime d'un très grave accident, nous craignons pour sa vie. Monsieur Sherrinford réclame votre présence immédiate. Monsieur Mycroft est lui aussi attendu, il a été prévenu par mes soins. Venez vite, je vous en supplie !
Docteur Sigismond Ressing.

P.S. : Je ne peux pas vous en dire plus pour le moment.

A mon tour, je ne pus que murmurer un « Mon Dieu », j'étais ému et étonné. Je levai les yeux sur Holmes, il était toujours prostré, incapable du moindre mouvement, son impassibilité coutumière avait volé en éclat. Ce fut à moi de prendre les décisions qui s'imposaient. J'envoyais Mme Hudson préparer les valises de Holmes, ainsi que le thé réclamé auparavant. Tandis que je cherchais un horaire de train adéquat en direction de Richmond pour l'heure qui suivait, la voix de Holmes s'éleva tout à coup, rauque et transformée :
- Mme Hudson ! Préparez aussi la malle du docteur Watson, je vous prie ! Il part avec moi !
Je me retournai pour le contempler avec stupeur, il s'était levé, son visage avait pâli, ses yeux étaient rouges, il me jeta un sourire attristé.
- Je dois vous avouer, mon cher Watson, que je ne me sens pas la force d'affronter un tel voyage tout seul !
- Mais ce sont vos affaires personnelles, Holmes ! Votre propre père ! protestai-je.
Il fit un vague geste de la main comme pour balayer mes arguments.
- Vous êtes devenu ma seule famille maintenant !

Je restai muet sous le coup, incapable de la moindre parole ou du moindre geste. Holmes s'approcha lentement de moi et me prit des mains l'horaire des trains que je consultais.
- Magnifique ! Il y a un express pour Richmond dans un peu moins de vingt minutes à la gare Victoria ! Si nous trouvons un fiacre immédiatement, nous y serons ce soir.
Holmes partit s'enfermer dans sa chambre, je courus jusqu'à la mienne.
Une demi-heure plus tard, nous étions confortablement installés dans un wagon de première classe en partance pour la jolie ville de Richmond.

Soudain, je songeai à ces deux hommes qui possédaient le même nom de famille que mon compagnon et bien que Holmes eût l'air taciturne et morose, je poussai la témérité jusqu'à le questionner :
- Holmes ! Qui sont ces messieurs Sherrinford et Mycroft Holmes ? Vos oncles ?
Holmes eut un étrange sourire et répondit sur un ton ironique :
- Mes frères !
Une telle réponse m'intéressa au plus haut point et je repris avec enthousiasme :
- J'ignorais que vous aviez des frères ! Ne devrions-nous pas les attendre ? N'habitent-ils pas à Londres ?
- Mycroft, oui, Sherrinford, quant à lui, vit encore dans notre demeure ancestrale de Richmond :
« My Croft », avec mon père Sigel.
- Et votre mère ?
Holmes me jeta un regard attristé et las.
- Elle est morte, il y a de cela une bonne dizaine d'années.
- Oh, veuillez m'excuser Holmes, repris-je, confus.
- Ne vous excusez pas mon cher Watson, comment pourriez-vous le savoir ? Ma mère s'appelait Violet, disons que le chagrin et la maladie eurent raison d'elle avant l'âge.
Un silence gêné de quelques secondes succéda à cette triste réponse.
- Mais n'aurions-nous pas dû attendre votre frère Mycroft à Londres ? Il aurait été certainement heureux de faire le voyage avec vous.
Holmes eut le même sourire bizarre et répondit d'une voix terne tout à coup :
- Oh, ne vous inquiétez pas pour lui Watson, il a déjà été prévenu, il est peut-être même déjà sur place ! On ne doit plus qu'attendre l'arrivée du fils rebelle.
- Du fils rebelle ? Vous ?
Holmes me fit un clin d'½il, puis resta muet tout le long du voyage, refusant de répondre à mes questions et Dieu sait si mes tentatives furent nombreuses cet après-midi-là !

L'obscurité était déjà tombée lorsque nous mîmes pied à terre sur le petit quai de Richmond. La lune brillait vivement dans le ciel d'encre de cette nuit-là, mais elle était d'une belle couleur rousse, un signe de malheur. Personne ne semblait nous attendre sur le quai pratiquement désert, donc Holmes me proposa une promenade nocturne jusqu'à son ancienne demeure à quelques lieues de là. La soirée était nuageuse, belle, mais froide, une bonne marche nous réchaufferait, j'acceptai avec plaisir. Nous nous chargeâmes chacun de notre malle et partîmes.
La campagne était profondément endormie, nous traversâmes la ville où quelques lampadaires répandaient une douce lumière réconfortante. Quelques dizaines de minutes plus tard, nous nous retrouvâmes dans le silence et l'obscurité des champs cultivés. Aucune âme, aucun être vivant ou mort ne rôdait aux alentours... Le seul bruit que l'on entendait était le claquement de nos chaussures vernies sur le sol caillouteux.

Et soudain, derrière un bouquet d'arbres immobiles, surgit la façade noirâtre et imposante d'un manoir où aucune lumière ne pouvait attester qu'il y eut des êtres doués de vie. Cela me donna la chair de poule malgré moi. Holmes s'arrêta quelques instants devant le portail à contempler cette demeure, sa demeure. Il tendit la main sur la barrière et l'ouvrit doucement, mais un petit grincement s'éleva dans le silence de la nuit et nous nous tînmes immobiles, attentifs au moindre bruit venant de la maison.
Tout à coup, une forme noire s'approcha lentement de nous et je compris au grognement que cette ombre nous jeta que c'était le gardien attitré de la maison. Je me préparais à reculer et à entraîner Holmes avec moi derrière la protection du portail, lorsque mon compagnon murmura d'une voix douce et faible :
- Ralf ! C'est moi Ralf ! Sherlock !

Un instant, l'ombre s'arrêta dans sa course et sembla indécise. Un rayon de lune perça la couche de nuage et éclaira la scène qui se déroulait devant moi. Un énorme chien noir nous observait. Un immense dogue allemand, le museau pointé vers nous, reniflait l'air ambiant et, reconnaissant certainement une ancienne odeur, celle de son maître d'autrefois. Il se mit à pousser des gémissements plaintifs et à trépigner sur place, ne sachant que faire. Holmes s'approcha de lui, entrant résolument dans le domaine privé, le chien se mit à grogner de nouveau, pourtant il se laissa caresser par le détective et lui lécha même la main.
- Un vieux compagnon de jeunesse Watson ! chuchota Holmes. Un brave chien qui m'accompagnait lors de mes promenades pédestres. Allons Ralf, à la maison !

Le chien hésita encore avant d'obéir à son ancien maître, puis il se décida tout à coup et nous précéda sans bruit sur l'allée complètement obscure. Je continuais de garder le silence, pourtant j'étais assailli de questions et je brûlais d'interroger Holmes. Nous arrivâmes enfin devant la porte d'entrée. Holmes se saisit d'un marteau de bronze brillant étrangement dans cette nuit ambiante et frappa trois longs coups sur le bois de la porte. Cela raisonna un peu dans le silence de la maison endormie, mais après plusieurs minutes d'attente, des pas feutrés se firent percevoir tout à coup et quelqu'un ouvrit la porte. Un homme se tenait sur le seuil d'entrée, un homme grand, maigre, les cheveux grisonnants sur les tempes, tenant d'une main ferme un chandelier où se consumait une bougie. Des yeux gris nous fixèrent un bref instant, puis une voix sans émotion, froide, sèche s'éleva dans la nuit :
- Bien ! Te voilà enfin !
Holmes ouvrit la bouche pour répondre mais l'homme leva la main et fit taire mon compagnon. Ses yeux me scrutèrent avec une profondeur et une attention si inquiétantes que je me sentis mal à l'aise. Soudain, l'homme reprit la parole :
- Et lui, qui est-ce ?
Cette fois, Holmes répondit d'une voix impassible :
- Mon ami, le docteur Watson, qui a eu la bonté d'accepter de m'accompagner !
- Mais ce ne sont pas ses affaires, Sherlock !
Je sursautai en entendant prononcer le prénom de mon ami sur un ton si hostile.
- Oui, mais ce sont les miennes, Sherrinford ! rétorqua froidement Holmes.

Je contemplai avec curiosité le frère de mon ami. En effet, dans ce clair-obscur, cet homme semblait posséder les mêmes yeux, le même regard profond que le fameux détective. Il s'effaça pour nous laisser entrer. Je me rendis compte en le voyant refermer le loquet de la porte d'entrée qu'il était presque aussi grand que Sherlock Holmes. Il était vêtu d'une robe de chambre de couleur bordeaux. Il nous tendit une clé sans autre cérémonie et s'écria sèchement :
- Vous devez être fatigués. Sherlock, tu connais le chemin. Bonne nuit !
Une manière de nous renvoyer sans doute. Il nous tendit ensuite le chandelier et s'apprêtait à s'enfuir. Holmes le retint par le bras.
- Quand pourrai-je voir père ?
- Pas avant demain Sherlock. Bonne nuit !
Je le vis disparaître dans un couloir obscur et une porte se ferma, quelque part.

Cette maison possédait une atmosphère éprouvante et désagréable, j'avais comme la pénible impression d'avoir pénétré dans l'antre de quelque animal maléfique et je ne pus empêcher ma main de flatter le brave chien qui était resté collé à nos talons. Le vieux dogue, dont le museau grisonnait, eut la délicatesse de ne pas grogner. Peut-être lui aussi ressentait-il l'étrange ambiance de cette demeure vétuste...
J'entendis Holmes pousser un long soupir et il m'entraîna dans un autre couloir sombre jusqu'à un escalier majestueux. Il me conduisit à une chambre fermée à clé qu'il ne réussit à ouvrir qu'après plusieurs minutes d'essais infructueux. Enfin, la porte céda avec un petit grincement. Je compris que nous nous trouvions dans l'ancienne chambre de Holmes. Elle ne devait pas souvent être ouverte et utilisée, peut-être même jamais depuis son départ de la maison, à en juger par l'odeur de renfermé qui stagnait dans l'air ambiant. Holmes leva le chandelier dans la pièce et fit un lent arc de cercle avec le bras. C'était une chambre ordinaire, deux lits, une armoire, un bureau et une petite étagère chargée de livres. Les deux lits étant faits, j'en déduisais que Sherrinford Holmes et les autres membres de la famille du détective avaient bien compris que celui-ci ne viendrait pas sans son inséparable compagnon, le docteur Watson.

Le chien se coucha au pied du lit contre la fenêtre, cela fut fait si naturellement par l'animal que je compris que c'était là l'ancien lit de Holmes. D'ailleurs, ce fut sur celui-ci que Holmes s'assit ensuite. Il avait déposé le chandelier pratiquement éteint sur le bureau et il soupira.
- Holmes. Quelle étrange maison ! murmurai-je, malgré moi.
- C'était pourtant la mienne, Watson. J'y ai vécu une bonne partie de ma vie, chuchota-t-il, en commençant à se dévêtir.

Je saisis qu'il était l'heure non pas de comprendre, mais d'essayer de se reposer un peu, alors je soufflai la bougie. Nous nous couchâmes quelques minutes plus tard. Seule la respiration régulière du chien brisait le silence angoissant de cette demeure à l'atmosphère pesante pour nos nerfs... Il me fallut plusieurs minutes pour m'endormir...
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#Posté le mardi 24 février 2015 13:40

Modifié le mardi 16 juin 2015 08:39

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sherlockology, Posté le mercredi 05 août 2015 11:26

Benedict-Cumberbatch a écrit : "J'aime beaucoup ce début d'histoire ! Ça m'a fait un peu bizarre au début, je me suis tellement habituée à mon Sherlock du XXIème siècle :p Je trouve que c'est très bien écrit, en particulier les dialogues qui collent très bien avec les personnages et leur personnalité ! Je suis contente de lire une fiction sur la vie de Sherlock, car j'avoue qu'elle m'intrigue beaucoup aussi ! Je n'ai pas a force de lire la suite maintenant, je m'endors un peu, mais j'essaierai de le faire le plus vite possible et j'aimerai bien être prévenue s'il te plait :) Merci & bonne nuit !"

J'ignore comment tu es arrivé(e) ici mais ton commentaire fait plaisir ! Tu seras prévenu(e) de la suite, sois en sûr(e) ! Au plaisir de te revoir ici et de discuter de la fiction.


Benedict-Cumberbatch, Posté le samedi 18 juillet 2015 18:30

J'aime beaucoup ce début d'histoire ! Ça m'a fait un peu bizarre au début, je me suis tellement habituée à mon Sherlock du XXIème siècle :p Je trouve que c'est très bien écrit, en particulier les dialogues qui collent très bien avec les personnages et leur personnalité ! Je suis contente de lire une fiction sur la vie de Sherlock, car j'avoue qu'elle m'intrigue beaucoup aussi ! Je n'ai pas a force de lire la suite maintenant, je m'endors un peu, mais j'essaierai de le faire le plus vite possible et j'aimerai bien être prévenue s'il te plait :) Merci & bonne nuit !


sherlockology, Posté le dimanche 07 juin 2015 06:06

get-sherlock a écrit : "Quel délice de prendre le temps de te lire à nouveau :) Chapitre très agréable, qui porte bien son titre puisque les bases se posent tranquillement. Côté écriture et tournures de phrases, tu m'épates toujours autant !"

La suite est pour bientôt :p


sherlockology, Posté le dimanche 07 juin 2015 06:06

get-sherlock a écrit : "Von Ziegler en fond sonore, c'est parfait *-*"

N'est-ce pas :D Un compositeur jeune fait toujours plaisir


get-sherlock, Posté le lundi 25 mai 2015 05:42

Quel délice de prendre le temps de te lire à nouveau :) Chapitre très agréable, qui porte bien son titre puisque les bases se posent tranquillement. Côté écriture et tournures de phrases, tu m'épates toujours autant !


get-sherlock, Posté le lundi 25 mai 2015 05:14

Von Ziegler en fond sonore, c'est parfait *-*


sherlockology, Posté le mercredi 25 février 2015 03:32

Lya-Graphisme a écrit : "Je n'ai pas eu l'occasion de lire les autres textes, mais celui-ci est super bien écrit ! (: Le chapitre est un peu long (enfin, j'ai juste l'habitude de lire des chapitres plus courts) mais l'intrigue est super (: Je peux te demander d'être prévenue de la suite, s'il te plaît?"

Oui effectivement le chapitre est un peu long mais j'ai espacé au mieux les paragraphes. Merci beaucoup pour ton commentaire qui fait très plaisir ! Je t'y inscrit :)


sherlockology, Posté le mercredi 25 février 2015 03:30

IntoDarkness a écrit : "Un véritable plaisir que celui de te lire!"

Merci Angèle !


IntoDarkness, Posté le mardi 24 février 2015 17:08

Un véritable plaisir que celui de te lire!


Lya-Graphisme, Posté le mardi 24 février 2015 14:20

Je n'ai pas eu l'occasion de lire les autres textes, mais celui-ci est super bien écrit ! (: Le chapitre est un peu long (enfin, j'ai juste l'habitude de lire des chapitres plus courts) mais l'intrigue est super (: Je peux te demander d'être prévenue de la suite, s'il te plaît?


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    Création : 24/12/2012 à 07:56 Mise à jour : 08/01/2018 à 13:48

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